Idées
La loi no 96, une loi novatrice
La créativité judiciaire ne doit pas s’appliquer à sens unique, soit dans un sens qui favorise strictement Ottawa.
La conversation collective souhaitée par le ministre Jolin-Barrette ouvre à un nouveau geste d’autodétermination.
Si ses liens historiques avec Washington conservent tout leur poids, Riyad a aussi l’oeil sur Moscou.
Est-ce normal de tolérer qu’on puisse considérer le lieu de vie de ses concitoyens comme une manière de s’enrichir?
Santé Canada doit urgemment tout mettre en oeuvre pour respecter pleinement son mandat sur cette question cruciale.
Offrons-nous l’occasion de rebâtir notre identité collective ensemble en la fondant sur la connaissance et la tolérance.
La fermeture du Conservatoire de musique de McGill est une catastrophe contre laquelle il faut s’élever.
Animée par l’indignation, elle était une «sage radicale» qui nous a enseigné à persévérer malgré les vents contraires.
L’invalidation de «Roe v. Wade» fait renaître le spectre d’un «gouvernement des juges» aux États-Unis et ici.
Loin de n’être qu’une alliance défensive, cette organisation cultive un esprit guerrier dont nous ne voulons pas.
Pour que le Québec devienne un lieu inclusif, affirmatif et sécuritaire, la réforme Jolin-Barette doit aller plus loin.
Les tarifs d’aide juridique dérisoires découragent les avocats de représenter les plus vulnérables de la société.
Les lois existantes ne suffisent pas, elles sont trop souvent contournées, mal appliquées ou tout bonnement ignorées.
Le mois de juin, c’est chaque fois un petit deuil. Le mien, cette année, est particulièrement chargé d’émotion.
Si l’humanité n’arrive pas à se défaire des énergies fossiles, qu’elle fasse au moins le «ménage» dans l’atmosphère!
Nous avons déposé nos demandes dans les temps, mais le suivi de trois agents n’aura pas suffi.
Historiens et politologues devront nous expliquer ce que René Lévesque n’a pas osé dire et pourquoi il ne l’a pas dit.
Méfions-nous de ce que disent les voix dominantes, car un discours peut en cacher un autre.
Il est temps qu’un ordre professionnel des enseignants voie le jour au Québec.
Nous réclamons un changement de culture et la fin du caviardage abusif, de la facturation abusive et de l’arbitraire.
La crise sanitaire a pénalisé lourdement et surtout les moins favorisés. Ces misères ne sont pas une fatalité.