Il s’agit de la seconde attaque majeure depuis début mars visant des installations énergétiques saoudiennes.
Les rebelles Houthis et les forces gouvernementales se disputent le contrôle de cette province pétrolière.
Cette désignation entravait le travail des organisations humanitaires au Yémen, a justifié le chef de la diplomatie.
Les humanitaires craignent la colère des Houthis face à cette décision.
L’attaque de deux sites du géant pétrolier Aramco a été revendiquée par les rebelles yéménites.
C’est la première fois que de tels pourparlers ont lieu sous le gouvernement Trump.
La coalition saoudienne a procédé à des frappes aériennes.
Martin Griffiths rencontrera séparément les rebelles Houthis et le président Abd Rabbo Mansour Hadi.
Il s’agit de l’application d’un accord conclu au début du mois de décembre.
Les États-Unis avaient réclamé mardi que cessent immédiatement les hostilités.