Nous nous sommes assez tus devant l’horreur de nos corps blasphémés.
L’institution et son recteur Jacques Frémont se dissocient des propos du professeur, mais sans plus.
Pour une rare occasion, la communauté asiatique a affiché, dimanche, son ras-le-bol du racisme.
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Le dossier des relations entre les personnes racisées et la police sera une de ses priorités.
Près de 60% disent avoir lu des propos haineux en ligne.
Leur syndicat, de son côté, déplore un «“show” politique» et l’absence d’une véritable enquête.
Pour beaucoup de gens, cette tuerie relève de plusieurs problématiques, ce qui en fait un enjeu «intersectionnel».
Éditorial Le paravent protecteur des «cas isolés» s’effrite au gré des incidents racistes qui s’additionnent dans le réseau.
Quant au dossier de Joyce Echaquan, l’enquête «suit son cours», affirme l'Ordre.