Les partis séparatistes catalans ont totalisé plus de 50% des voix, contre 47,5% lors du dernier scrutin en 2017.
Les manifestations se sont mises en marche à l’appel du parti d’extrême droite Vox.
Le pays a allégé le confinement imposé depuis le 14 mars, qui était l’un des plus stricts au monde.
Quim Torra a été condamné pour désobéissance par la justice espagnole en décembre.
Son gouvernement survit en formant une coalition avec la gauche radicale.
Le président socialiste doit obtenir leur appui pour rester à la tête du gouvernement espagnol.
Pedro Sánchez a perdu son pari de sortir renforcé de ces quatrièmes élections générales en quatre ans.
La crise catalane a profité au parti d’extrême droite Vox, qui double ses sièges.
Les socialistes conservent le pouvoir, l’extrême droite devient la troisième force politique du pays.
La gauche se mobilise à la veille des élections.