
Percer le mystère des caillots sanguins liés à certains vaccins
Pour des millions de Canadiens, ces risques restent bien inférieurs à ceux posés par la COVID-19.
Pour des millions de Canadiens, ces risques restent bien inférieurs à ceux posés par la COVID-19.
Une grande proportion de la population britannique a reçu une première dose d’un vaccin contre la COVID-19.
Après des mois de socialisation restreinte, tout le monde a envie de mettre le nez dehors.
Des études en cours pourraient changer la donne dans les prochains mois.
Les variants du SRAS-CoV-2 vont probablement converger vers une seule et même génétique.
Une autre arme contre le variant britannique de la COVID-19 pourrait déjà se trouver sur notre nez.
Pfizer a annoncé mercredi que son vaccin était sûr et efficace chez les 12 à 16 ans.
On se demande toujours comment le coronavirus a pu se frayer un chemin jusqu’à l’humain, avant d’envahir le monde.
Trois de ces variants sont bien connus, mais un autre, d’abord détecté au Nigéria, l’est beaucoup moins.
Chez une personne sur huit, le virus s’attaque aux neurones, conséquences à la clef.