Sans médiation internationale, le risque d’une escalade du conflit est grand.
Paris, Moscou et Washington s’inquiètent pour la stabilité de la région.
Le président de l’Azerbaïdjan a aussi demandé que le premier ministre arménien «s’excuse».
L’Arménie fait face «au moment peut-être le plus décisif de son histoire», a déclaré le premier ministre.
Une internationalisation du conflit risque de déstabiliser une région où des puissances sont en concurrence.
L’escalade de tensions «très préoccupante» entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan a fait des dizaines de morts lundi.
Depuis la chute du régime de Kadhafi, le pays est en proie aux conflits et à une lutte d’influence.
Ils affirment que depuis le départ de Nathalie Bondil, le climat de travail a radicalement changé.
Les membres du Musée tiennent leur bout.
D’après des observateurs, les deux camps sont conscients qu’un conflit ne servirait pas leurs intérêts du moment.