
Les frappes israéliennes font 24 morts à Gaza
L’armée israélienne a annoncé samedi se préparer à «une semaine» de raids sur Gaza.
Un porte-parole des talibans accuse les Occidentaux de vider le pays de ses forces vives.
Les conditions d’évacuation à l’aéroport de la capitale afghane ont fait de premiers morts.
Une poche de résistance s’est formée dans la zone longtemps connue comme un bastion anti-talibans.
Les talibans possèderaient des «listes prioritaires» de personnes qu’ils veulent arrêter.
Des affiches et photos de femmes qui ornaient les vitrines sont masquées ou vandalisées.
Les talibans se sont efforcés de rassurer le monde, alarmé par leur passif en matière de droits de la personne.
À Gaza, un garçon rendu aveugle lors de la courte guerre de mai dernier est privé de rentrée scolaire.
Si les talibans ont appelé à retrouver ses « habitudes de vie en pleine confiance », la méfiance des Afghans reste vive.
La tragédie, qui a fait 28 morts, illustre à nouveau l’effondrement économique du pays.
La grande majorité des actifs afghans sont détenus dans d’autres pays, comme les États-Unis.
La pilule afghane est amère pour Washington alors que des milliers d’habitants cherchent à fuir.
Washington a dépensé des milliards avec des objectifs irréalistes.
Kaboul est tombé et le président afghan, Ashraf Ghani, a fui le pays.
Il a promis de ne pas «léguer» cette guerre à un autre président américain.
Connu pour son empathie, le président américain montre sur ce volet une distance remarquée.
Les talibans contrôlent près de la moitié des capitales provinciales en Afghanistan, toutes tombées en huit jours.
Le pays compte pour l’instant au moins 40 morts dans le nord.
Les talibans se rapprochent de Kaboul, ayant pris jeudi les capitales provinciales Ghazni et Hérat.
L’émissaire de l’ONU pour la Syrie, Geir Pedersen, a réclamé la fin immédiate des violences.
Le conflit entre les rebelles houthis et le gouvernement a fait des dizaines de milliers de morts depuis 2014.