
Un obus non-explosé comme souvenir de voyage
Une famille américaine a créé la panique à l’aéroport de Tel-Aviv.
Cinq pays européens ont appelé au respect du «statu quo des lieux saints».
La nouvelle escalade des tensions israélo-palestiniennes met à mal la coalition hétéroclite au pouvoir.
Avec ce quatrième attentat en deux semaines dans l’État hébreu, le nombre de victimes est porté à quatorze.
Le chef de la Ligue musulmane devra affronter les mêmes problèmes qui ont coûté son siège à son prédécesseur.
Les Yéménites espèrent un répit de cette guerre qui dure depuis plus de sept ans.
Les Nations unies ont annoncé qu’une trêve de deux mois, avec possibilité de la prolonger, commencerait samedi.
Le pays craint une vague de violence après une troisième attaque en une semaine.
L’armée idéologique de la République islamique figure sur la liste américaine des organisations terroristes.
Depuis leur prise de pouvoir, les fondamentalistes multiplient les restrictions envers les Afghanes.
La question du retour à un accord encadrant le programme civil nucléaire de l’Iran sera à l’ordre du jour.
La joie d’un retour à l’école fut de bien courte durée et plusieurs n’ont pu retenir leurs larmes.
Deux Yéménites sur trois vivent dans une extrême pauvreté, alors que le pays est plongé en guerre depuis 2014.
Les tirs, qui visaient le consulat américain à Erbil, ont fait deux blessés, mais aucun décès.
Douze missiles balistiques aurait été tirés sur la capitale du Kurdistan par une source inconnue.
Il s’agit de la plus grande exécution de masse connue de l’histoire moderne du royaume.
Le blogueur était incarcéré pour avoir critiqué les autorités religieuses de l’Arabie saoudite.
Sur le point d’aboutir, elles sont désormais menacées par Moscou, qui réclame des garanties supplémentaires.
Il confirme la mort d’Abou Ibrahim al-Qourachi, un peu plus d’un mois après l’annonce de son décès par Washington.
Naftali Bennett a affirmé dimanche que ses efforts de médiation dans la guerre en Ukraine étaient «un devoir moral».
Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est entretenu dimanche au téléphone avec son homologue russe.