
Tunisie: le président Saied engrange un succès avec l’adoption de sa Constitution controversée
Le faible taux de participation entame la légitimité du processus, selon ses opposants.
Après trois ans, le Hirak n’a abouti qu’à une explosion de la répression et à une vague intense d’arrestations.
Des milliers de citoyens sont descendus dans la rue dimanche pour protester contre le décret controversé.
Le président du Parlement a affirmé avant le vote que Khaled Al-Bibass avait retiré sa candidature. Ce qu’il dément.
Le président tunisien Kaïs Saïed a dissous samedi le Conseil supérieur de la magistrature.
Lundi ont eu lieu de nouvelles manifestations antiputsch pour appeler à la dissolution des Forces de soutien rapide.
«Bien que n’étant pas responsables du changement climatique, ce sont les Africains qui en paient le prix.»
Umaro Sissoco Embalo n’a pas désigné précisément les auteurs de cette tentative de coup d’État.
La Communauté exige la libération immédiate du président Kaboré, renversé par un coup d’État lundi.
Ce putsch survient à l’heure où cette région est de plus en plus déstabilisée par les djihadistes.
La mobilisation contre le pouvoir militaire ne faiblit pas depuis le putsch du général al-Burhane fin octobre.
Le gouvernement éthiopien affirme ne posséder aucune information sur ces différentes frappes.
Le manque de matériel médical et de carburant perturbe gravement la réponse aux blessés.
Le jeune homme de 26 ans est décédé après avoir reçu « une bombe lacrymogène sur le cou » lancée par les autorités.
Plus de 10% ont été commises par les forces congolaises de sécurité et les autres sont attribuées à des groupes armés.
«J’ai tenté de mon mieux d’empêcher le pays de glisser vers la catastrophe», a justifié Abdallah Hamdok.
Des milliers de Soudanais convergent dimanche vers le palais présidentiel à Khartoum.
Celui qui était une immense figure morale de la lutte contre l’apartheid laisse derrière lui une Afrique orpheline.
Le combat non-violent de Tutu avait été couronné du prix Nobel de la paix en 1984.
Les autorités ont immédiatement accusé les rebelles des Forces démocratiques alliées d’être responsables de l'attentat.
L’autorité électorale propose de reporter le scrutin d’un mois.