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Un whisky venu du nord

Un whisky venu du nord

Le climat extrême des Orcades, au nord de l’Écosse, façonne des whiskys au caractère unique.
Photo: Søren Solkær Le climat extrême des Orcades, au nord de l’Écosse, façonne des whiskys au caractère unique.
Contenu commandité

Depuis 1798, la distillerie Highland Park élabore des single malts racés et complexes dans l’archipel sauvage des Orcades, tout au nord de l’Écosse. Ses whiskys d’exception témoignent d’un environnement unique et d’un savoir-faire qui a traversé les siècles.

Les whiskys écossais, les vrais scotchs, ont plus que jamais la cote, et ils figurent en tête du palmarès des amateurs les plus exigeants. Tout particulièrement les single malts – comme le Highland Park –, qui sont produits à partir d’orge maltée et qui assemblent des cuvées provenant d’une seule distillerie. Contrairement aux blended, plus courants et au goût davantage standardisé, qui peuvent assembler whiskys de malt et whiskys de grain issus de plusieurs provenances.

Ce qui distingue les whiskys Highland Park ? Des méthodes de production traditionnelles qui datent de plus de 220 ans et qui sont encore et toujours mises en pratique, et un caractère unique lié à la nordicité de la distillerie. Bien à l’écart des cinq grandes régions productrices de whisky d’Écosse, l’archipel des Orcades se distingue par ses paysages sauvages, façonnés par les tempêtes et les vents violents. Mais malgré la météo souvent extrême et une proximité avec le cercle polaire – les îles sont à la même latitude qu’Anchorage en Alaska –, le climat y est étonnamment tempéré grâce aux effets du Gulf Stream. Une région de contrastes, qui a forgé la destinée de ses habitants.

Perchée en hauteur à Kirkwall, la distillerie Highland Park est érigée sur le site même où son fondateur, Magnus Eunson, faux prédicateur et vrai contrebandier, installa son premier alambic (illicite) en 1798. Elle est constituée de bâtiments anciens et d’autres plus modernes, où l’on trouve entre autres quatre alambics traditionnels équipés de fenêtres permettant de surveiller de près le processus de distillation, ainsi que deux fours – le plus jeune a 100 ans – où l’on sèche l’orge depuis toujours.

Partout en ces lieux, l’histoire est bien présente. Il faut dire que les Orcades sont marquées par un passé singulier puisque les Vikings y ont régné du IXe au XVe siècle. Un héritage qui a laissé des traces dans l’archipel comme dans l’ADN de ses habitants, et que la marque se plaît à souligner à travers les noms donnés à ses différents whiskys.

Photo: Søren Solkær l’orge est tournée manuellement toutes les huit heures pour qu’elle puisse absorber la fumée aromatique de la tourbe brûlée.

LES CINQ CLÉS DE VOÛTE La distillerie Highland Park élabore son whisky en s’appuyant sur les cinq mêmes principes depuis deux siècles. Des procédés qui, ensemble, la différencient des autres distilleries.

De la tourbe aromatique
Coupée à la main dans le Hobbister Moor, la tourbe est pauvre en bois – les arbres ne survivent pas dans les Orcades – mais riche en bruyère odorante, ce qui confère un caractère floral aux notes de fumée distinctives des whiskys Highland Park.

Un maltage au sol
L’orge est tournée manuellement toutes les huit heures afin de maintenir un flux d’air et un taux d’humidité idéal lui permettant d’absorber pleinement l’intense fumée aromatique dégagée par la tourbe brûlée dans les fours. La distillerie Highland Park est l’une des dernières en Écosse à utiliser ce procédé ancestral.

Des fûts de chêne européens et américains
Imprégnés de xérès et parfois de bourbon, ils sont essentiels à l’arôme final et à la coloration du whisky.

Une maturation à froid
Grâce à la fraîcheur du climat des Orcades, dont les moyennes de température oscillent entre 2 °C et 16 °C, la maturation se produit lentement et de façon uniforme.

L’harmonisation des fûts
Le maître distillateur Gordon Motion sélectionne et combine jusqu’à 150 fûts, afin d’atteindre un équilibre parfait qui se traduit par une rondeur et une finale tout en longueur.

Photo: Søren Solkær Les whiskys sont vieillis dans des fûts de chêne imprégnés de xérès et parfois de bourbon.

L’ART DE LA DÉGUSTATION Pour les puristes, un single malt se savoure avec quelques gouttes d’eau, sans glaçons, dans un verre de dégustation en tulipe. Mais à chacun de l’apprécier comme il le souhaite. Vous préférez votre whisky sur glace ? Optez pour un glaçon géant qui fondra lentement et qui aura belle allure. Vous avez conservé les verres en cristal taillé que votre grand-père affectionnait ? C’est dans ceux-ci que votre whisky aura le meilleur goût.

On a longtemps cantonné le whisky à l’heure de l’apéro ou du digestif, mais on gagne à explorer les accords multiples avec les mets. Le mariage avec le saumon fumé – un grand classique écossais – offre un accord naturel de notes salines et fumées. Mais on peut aussi servir un whisky avec des huîtres, des crustacés, des coquillages. Et les notes délicatement fumées d’un whisky tourbé comme le Highland Park 12 ans peuvent même très bien s’harmoniser avec un steak grillé. Un pairage inusité mais vraiment réussi.

Le whisky se savoure aussi bien au retour d’une longue randonnée en plein air, en trinquant avec des amis devant un bon repas, ou en lisant tranquillement le soir au coin du feu. Peu importe l’occasion, les single malts Highland Park, distillés au bout du monde dans l’archipel des Orcades, accompagnent les moments de réflexion et de partage.

Deux crus de caractère



À DÉCOUVRIR SANS ATTENDRE : le Highland Park 12 ans Orkney Scotch.
Un single malt vieilli en fût de chêne ayant contenu du xérès, ce qui lui confère un boisé bien dosé. Légèrement tourbé, il dégage des arômes d’orange de Séville, de cannelle, de muscade et de clou de girofle, et il révèle des parfums de miel de bruyère sur fond de notes fumées. Au final, un whisky harmonieux, parfait pour ceux qui souhaitent s’initier aux saveurs particulières des scotchs tourbés.
70,75 $ à la SAQ.


À SURVEILLER : le Highland Park Édition No 2 brut de fût.
Une édition annuelle limitée qui sait se faire attendre. Après maturation en barriques de xérès et de bourbon, ce single malt est embouteillé directement, sans aucun ajout d’eau pouvant en diminuer le taux d’alcool. Une caractéristique qui lui confère une extraordinaire profondeur et une complexité inaltérée. À la dégustation, on détecte des arômes de rose d’été, de poires mûres, de miel et de réglisse, enveloppés d’effluves de tourbe aromatique. Un whisky à la fois puissant et élégant, qui laisse deviner, en finale, des arômes de chêne torréfié et de fruits du verger, de poivre noir et d’anis.
149,95 $ (arrivée à la SAQ sous peu !).


Ce contenu a été produit par l’équipe des publications spéciales du Devoir en collaboration avec l’annonceur. L’équipe éditoriale du Devoir n’a joué aucun rôle dans la production de ce contenu.

Pour en savoir plus sur Highland Park

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