Simplifier le traitement d’une crise d’hypoglycémie sévère par l’utilisation d’un vaporisateur nasal

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Il est important pour les Canadiens qui présentent un risque d’hypoglycémie grave de se préparer à une urgence liée à une baisse du taux de sucre dans le sang.
Avec sa première crise d’hypoglycémie, Mark Hanlon a eu un puissant avertissement. Celle-ci a eu lieu alors qu’il était à son bureau. « J’ai commencé à transpirer abondamment et je ne me sentais pas bien du tout. Heureusement, j’ai réussi à passer au travers. Mais tout de suite après cet événement, je me suis demandé comment je pourrais me préparer si jamais cela devait se reproduire. » Mark Hanlon a depuis vécu d’autres épisodes mineurs d’hypoglycémie parce qu’il n’avait pas mangé correctement ou qu’il avait fait un peu trop d’exercice.
« Quand je commence à être en hypoglycémie, tout va très vite. Il faut trouver un moyen d’arrêter la progression. »
Mark Hanlon garde toujours sur lui une boîte de comprimés de glucose et un jus de fruits. Récemment, il a ajouté à ces deux éléments Baqsimi, un vaporisateur nasal sec. Conçu pour des personnes qui souffrent de glycémie extrêmement basse (hypoglycémie sévère), ce traitement mis au point au Canada peut être absorbé par voie intranasale. Il est disponible avec ou sans ordonnance.
Baqsimi contient du glucagon, une hormone naturelle qui aide à stabiliser le taux de glucose et qui est utilisée depuis des années dans le traitement de l’hypoglycémie sévère. L’un des principaux avantages de cette formulation est qu’elle peut être administrée à un patient inconscient par un tiers, que celui-ci ait une formation médicale ou non.
Les risques liés à une hypoglycémie sévère sont importants et peuvent entraîner une perte de conscience, un coma ou même la mort. Baqsimi est une solution utilisée pour le traitement de l’hypoglycémie sévère chez les adultes et les enfants de quatre ans et plus qui prennent de l’insuline.
Pendant des années, il fallait avoir recours à une solution injectable. « Ce n’était vraiment pas pratique », déclare le Dr Stuart Ross, endocrinologue, professeur clinicien en médecine à l’Université de Calgary. « Vous deviez mélanger le liquide et la poudre, aspirer la solution dans la seringue puis l’injecter à la personne. Cela convient si le patient est chez lui. Mais pas s’il est à l’extérieur. »
De plus, s’administrer soi-même un traitement peut être plus compliqué si l’épisode de crise est sévère. « Pour pouvoir s’administrer le traitement, il faut encore être conscient, sinon il faut avoir à côté de soi quelqu’un qui sait comment le préparer et l’injecter. Le problème, c’est qu’en cas d’hypoglycémie sévère, le patient ne peut se l’administrer lui-même. »
Lorsqu’il discute avec ses patients atteints d’hyperglycémie sévère, le Dr Ross souligne que sa principale préoccupation est qu’ils peuvent perdre la maîtrise d’eux-mêmes pendant un épisode d’hypoglycémie et même perdre conscience. « Lorsque la glycémie chute au-delà de la normale, la personne en crise peut perdre toute sa capacité de coordination. Elle peut ne plus pouvoir marcher, avoir une vision floue, et ne plus être capable d’avaler. C’est terrible pour les gens qui souffrent d’hyperglycémie sévère de vivre avec cette peur. »
D’autant que la pandémie a exacerbé cette dernière, en raison du risque accru de complications liées à la COVID-19. « La dernière chose que veulent mes patients, c’est de se retrouver dans un hôpital ou une clinique où ils pourraient être exposés au virus », commente-t-il.
Pour ajouter au stress, la façon la plus efficace de travailler avec les patients atteints d’hypoglycémie est d’avoir une approche d’équipe mettant à contribution les fournisseurs de soins de santé, les patients et les membres de la famille. « Ce travail d’équipe demande d’être en contact permanent, ce qui augmente l’inquiétude des patients en cette période de pandémie. »
Le Dr Ross constate que le traitement de glucagon par voie nasale constitue une évolution importante dans la réduction de certaines problématiques. « Un ami ou un membre de la famille sans expérience peut l’administrer facilement. Baqsimi ressemble un peu aux vaporisateurs pour sinus que l’on utilise pour éliminer la congestion nasale. Quand j’en parle à mes patients, ils me demandent tout de suite quand ils pourront l’obtenir. Je recommande ce traitement à tous les patients à risque. »
En tant que parent célibataire de deux enfants, l’un de 11 ans et l’autre de 14 ans, Mark Hanlon affirme que cette nouvelle formulation pulvérisable lui a apporté une grande tranquillité d’esprit, d’autant qu’il travaille maintenant de la maison. « Au bureau, mes collègues m’assuraient d’avoir un filet de sécurité en cas de problème. C’est un peu différent maintenant que je travaille de chez moi. Il est vraiment essentiel que mes enfants sachent comment m’administrer ce traitement en cas d’urgence. S’ils n’arrivent pas à me faire reprendre connaissance, ils peuvent simplement sortir le dispositif du tube jaune, insérer l’embout à l’intérieur de mon nez et appuyer sur le piston. Une injection serait au contraire impossible à faire pour eux. »
Un autre des avantages de cette formulation par voie nasale est la tranquillité d’esprit, ajoute le Dr Ross. « Les patients apprécient le fait qu’ils peuvent s’endormir en sachant qu’ils bénéficieront d’une aide immédiate s’ils en ont besoin. Cela constitue un formidable complément au traitement. »
Mark Hanlon va dans le même sens. « Tout le monde peut utiliser Baqsimi. J’ai même expliqué à mon voisin comment l’administrer. Bien que j’en ai toujours un à la maison et un autre dans ma poche, j’espère que je n’aurai jamais à m’en servir. Mais comme j’ai failli perdre connaissance à plusieurs reprises, c’est rassurant de savoir qu’il est là. »

Cette histoire a été créée par Content Works, la division de contenu commercial de Postmedia, au nom d’Eli Lilly.
Il est important pour les Canadiens qui présentent un risque d’hypoglycémie grave de se préparer à une urgence liée à une baisse du taux de sucre dans le sang.
Avec sa première crise d’hypoglycémie, Mark Hanlon a eu un puissant avertissement. Celle-ci a eu lieu alors qu’il était à son bureau. « J’ai commencé à transpirer abondamment et je ne me sentais pas bien du tout. Heureusement, j’ai réussi à passer au travers. Mais tout de suite après cet événement, je me suis demandé comment je pourrais me préparer si jamais cela devait se reproduire. » Mark Hanlon a depuis vécu d’autres épisodes mineurs d’hypoglycémie parce qu’il n’avait pas mangé correctement ou qu’il avait fait un peu trop d’exercice.
« Quand je commence à être en hypoglycémie, tout va très vite. Il faut trouver un moyen d’arrêter la progression. »
Mark Hanlon garde toujours sur lui une boîte de comprimés de glucose et un jus de fruits. Récemment, il a ajouté à ces deux éléments Baqsimi, un vaporisateur nasal sec. Conçu pour des personnes qui souffrent de glycémie extrêmement basse (hypoglycémie sévère), ce traitement mis au point au Canada peut être absorbé par voie intranasale. Il est disponible avec ou sans ordonnance.
Baqsimi contient du glucagon, une hormone naturelle qui aide à stabiliser le taux de glucose et qui est utilisée depuis des années dans le traitement de l’hypoglycémie sévère. L’un des principaux avantages de cette formulation est qu’elle peut être administrée à un patient inconscient par un tiers, que celui-ci ait une formation médicale ou non.
Les risques liés à une hypoglycémie sévère sont importants et peuvent entraîner une perte de conscience, un coma ou même la mort. Baqsimi est une solution utilisée pour le traitement de l’hypoglycémie sévère chez les adultes et les enfants de quatre ans et plus qui prennent de l’insuline.
Pendant des années, il fallait avoir recours à une solution injectable. « Ce n’était vraiment pas pratique », déclare le Dr Stuart Ross, endocrinologue, professeur clinicien en médecine à l’Université de Calgary. « Vous deviez mélanger le liquide et la poudre, aspirer la solution dans la seringue puis l’injecter à la personne. Cela convient si le patient est chez lui. Mais pas s’il est à l’extérieur. »
De plus, s’administrer soi-même un traitement peut être plus compliqué si l’épisode de crise est sévère. « Pour pouvoir s’administrer le traitement, il faut encore être conscient, sinon il faut avoir à côté de soi quelqu’un qui sait comment le préparer et l’injecter. Le problème, c’est qu’en cas d’hypoglycémie sévère, le patient ne peut se l’administrer lui-même. »
Lorsqu’il discute avec ses patients atteints d’hyperglycémie sévère, le Dr Ross souligne que sa principale préoccupation est qu’ils peuvent perdre la maîtrise d’eux-mêmes pendant un épisode d’hypoglycémie et même perdre conscience. « Lorsque la glycémie chute au-delà de la normale, la personne en crise peut perdre toute sa capacité de coordination. Elle peut ne plus pouvoir marcher, avoir une vision floue, et ne plus être capable d’avaler. C’est terrible pour les gens qui souffrent d’hyperglycémie sévère de vivre avec cette peur. »
D’autant que la pandémie a exacerbé cette dernière, en raison du risque accru de complications liées à la COVID-19. « La dernière chose que veulent mes patients, c’est de se retrouver dans un hôpital ou une clinique où ils pourraient être exposés au virus », commente-t-il.
Pour ajouter au stress, la façon la plus efficace de travailler avec les patients atteints d’hypoglycémie est d’avoir une approche d’équipe mettant à contribution les fournisseurs de soins de santé, les patients et les membres de la famille. « Ce travail d’équipe demande d’être en contact permanent, ce qui augmente l’inquiétude des patients en cette période de pandémie. »
Le Dr Ross constate que le traitement de glucagon par voie nasale constitue une évolution importante dans la réduction de certaines problématiques. « Un ami ou un membre de la famille sans expérience peut l’administrer facilement. Baqsimi ressemble un peu aux vaporisateurs pour sinus que l’on utilise pour éliminer la congestion nasale. Quand j’en parle à mes patients, ils me demandent tout de suite quand ils pourront l’obtenir. Je recommande ce traitement à tous les patients à risque. »
En tant que parent célibataire de deux enfants, l’un de 11 ans et l’autre de 14 ans, Mark Hanlon affirme que cette nouvelle formulation pulvérisable lui a apporté une grande tranquillité d’esprit, d’autant qu’il travaille maintenant de la maison. « Au bureau, mes collègues m’assuraient d’avoir un filet de sécurité en cas de problème. C’est un peu différent maintenant que je travaille de chez moi. Il est vraiment essentiel que mes enfants sachent comment m’administrer ce traitement en cas d’urgence. S’ils n’arrivent pas à me faire reprendre connaissance, ils peuvent simplement sortir le dispositif du tube jaune, insérer l’embout à l’intérieur de mon nez et appuyer sur le piston. Une injection serait au contraire impossible à faire pour eux. »
Un autre des avantages de cette formulation par voie nasale est la tranquillité d’esprit, ajoute le Dr Ross. « Les patients apprécient le fait qu’ils peuvent s’endormir en sachant qu’ils bénéficieront d’une aide immédiate s’ils en ont besoin. Cela constitue un formidable complément au traitement. »
Mark Hanlon va dans le même sens. « Tout le monde peut utiliser Baqsimi. J’ai même expliqué à mon voisin comment l’administrer. Bien que j’en ai toujours un à la maison et un autre dans ma poche, j’espère que je n’aurai jamais à m’en servir. Mais comme j’ai failli perdre connaissance à plusieurs reprises, c’est rassurant de savoir qu’il est là. »

Cette histoire a été créée par Content Works, la division de contenu commercial de Postmedia, au nom d’Eli Lilly.
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