Réinventer les grands événements

Alors que les événements d’envergure sont particulièrement touchés par la pandémie, le Palais des congrès de Montréal s’adapte et regarde vers l’avenir. Le 28 octobre, il tiendra un événement hybride avec les grands leaders mondiaux de l’organisation de congrès pour trouver des pistes de solution afin de réinventer l’industrie.
« Le coup a été dur pour l’organisation d’événements, mais nous nous attendons à ce que les activités reprennent plus fort que jamais et à vivre des années records après 2022 », indique Robert Mercure, président-directeur général du Palais des congrès de Montréal.
D’ailleurs, alors que les grands événements s’organisent toujours longtemps d’avance, il révèle qu’on en a confirmé une vingtaine au Palais des congrès depuis le début de la pandémie pour les années à venir.
« Les gens continuent de prévoir des événements à long terme, ils ont besoin de voir un retour à la normale, affirme M. Mercure. L’être humain a besoin de se rassembler physiquement. »
Robert Mercure, président-directeur général du Palais des congrès de Montréal
Tout ne redeviendra pas cependant comme avant et la technologie continuera de prendre de plus en plus de place. C’est notamment de cela qu’il sera question le 28 octobre prochain, alors que les plus grandes associations d’organisateurs d’événements dans le monde et les entreprises majeures de l’industrie seront rassemblées au Palais des congrès de Montréal.
« Il faut ouvrir la discussion sur l’avenir, démystifier les événements hybrides, partager les meilleures pratiques, et le Palais des congrès de Montréal veut se positionner comme un lieu d’avenir pour l’organisation d’événements », indique Robert Mercure, qui demeure convaincu que la métropole est en bonne position pour continuer d’attirer de grands congrès.
« On oublie à quel point Montréal a une bonne réputation à l’international grâce à son côté créatif, affirme Robert Mercure. Plusieurs secteurs d’activité sont très forts, comme l’aérospatiale, l’intelligence artificielle ou encore les jeux vidéo, et nous avons ici certains des plus grands chercheurs et leaders mondiaux en la matière. De plus, Montréal est vue comme une ville cool, ouverte, les gens aiment y venir. » La métropole compte d’ailleurs le plus grand nombre d’étudiants universitaires par habitant en Amérique du Nord et elle se classe régulièrement dans le palmarès des trois villes américaines où on vit la meilleure expérience étudiante.
L’Union des associations internationales (UAI) révélait d’ailleurs cet été que la métropole québécoise est restée en 2019, pour une troisième année consécutive, la ville qui a accueilli le plus d’événements internationaux. Avec pas moins de 129 événements qui s’y sont tenus, elle se trouve loin devant New York, qui en a accueilli 79.
« Avant la pandémie, l’industrie était déjà en train de se réinventer, rappelle Robert Mercure. On tenait des événements hybrides avec des interventions en vidéo de gens situés ailleurs dans le monde. Or, la pandémie a créé l’urgence d’adopter massivement ces tendances pour s’assurer de pouvoir se réunir et échanger, et ce, peu importe l’évolution des règles sanitaires. »
Station de lavage des mains sans contact
En plus d’adapter ses espaces pour respecter la distanciation et créer un environnement sans contact, le Palais des congrès a lancé Palais Média Propulsion et ses studios de hautes technologies afin de faciliter la tâche de ses clients en matière de création de contenus audio et vidéo. Entrevue intimiste, baladodiffusion, panel avec public : différents types de contenus peuvent y être créés et diffusés en temps réel ou en différé. Un petit studio peut accueillir jusqu’à 4 personnes, un autre peut en accueillir 50 et un troisième d’une capacité de 250 personnes est en train d’être aménagé.
« C’est un service clé en main que nous offrons à nos clients qui ne sont pas tous au même niveau en matière d’intégration de la technologie, souligne M. Mercure. Il faut les soutenir dans cette transition vers des événements hybrides. Même si, une fois qu’on aura trouvé un vaccin, on revient à de grands événements en personne, les organisations devront continuer à développer du contenu pour rayonner sur les réseaux sociaux. »
Le Prisme, un studio de Palais Media Propulsion
Aussi, il est fort possible que la pandémie laisse des traces pour plusieurs personnes ayant découvert les avantages du télétravail et des vidéoconférences.
« Bien des gens ne voudront plus embarquer dans un avion seulement pour écouter des gens monologuer à l’autre bout du monde, affirme Robert Mercure. Les gens voudront se rassembler, échanger, faire du réseautage, apprendre des choses, découvrir de nouvelles cultures. Il faudra faire plus que présenter des conférences. Nous voulons être non seulement un centre de congrès, mais un centre de solutions pour aider nos clients à se réinventer. Nous voulons être une vitrine qui fera rayonner Montréal et le Québec. »
https://www.congresmtl.com/MTL-Reunion
Sur le service Palais Média Propulsion :
https://congresmtl.com/studio-palais-media-propulsion/
« Le coup a été dur pour l’organisation d’événements, mais nous nous attendons à ce que les activités reprennent plus fort que jamais et à vivre des années records après 2022 », indique Robert Mercure, président-directeur général du Palais des congrès de Montréal.
D’ailleurs, alors que les grands événements s’organisent toujours longtemps d’avance, il révèle qu’on en a confirmé une vingtaine au Palais des congrès depuis le début de la pandémie pour les années à venir.
« Les gens continuent de prévoir des événements à long terme, ils ont besoin de voir un retour à la normale, affirme M. Mercure. L’être humain a besoin de se rassembler physiquement. »

« Il faut ouvrir la discussion sur l’avenir, démystifier les événements hybrides, partager les meilleures pratiques, et le Palais des congrès de Montréal veut se positionner comme un lieu d’avenir pour l’organisation d’événements », indique Robert Mercure, qui demeure convaincu que la métropole est en bonne position pour continuer d’attirer de grands congrès.
« On oublie à quel point Montréal a une bonne réputation à l’international grâce à son côté créatif, affirme Robert Mercure. Plusieurs secteurs d’activité sont très forts, comme l’aérospatiale, l’intelligence artificielle ou encore les jeux vidéo, et nous avons ici certains des plus grands chercheurs et leaders mondiaux en la matière. De plus, Montréal est vue comme une ville cool, ouverte, les gens aiment y venir. » La métropole compte d’ailleurs le plus grand nombre d’étudiants universitaires par habitant en Amérique du Nord et elle se classe régulièrement dans le palmarès des trois villes américaines où on vit la meilleure expérience étudiante.
L’Union des associations internationales (UAI) révélait d’ailleurs cet été que la métropole québécoise est restée en 2019, pour une troisième année consécutive, la ville qui a accueilli le plus d’événements internationaux. Avec pas moins de 129 événements qui s’y sont tenus, elle se trouve loin devant New York, qui en a accueilli 79.
Se réinventer grâce à la technologie
« Même si Montréal est bien positionnée sur le marché des grands événements internationaux, la concurrence est toujours féroce. Pour continuer à se distinguer, le Palais des congrès de Montréal a beaucoup investi en technologies ces dernières années.« Avant la pandémie, l’industrie était déjà en train de se réinventer, rappelle Robert Mercure. On tenait des événements hybrides avec des interventions en vidéo de gens situés ailleurs dans le monde. Or, la pandémie a créé l’urgence d’adopter massivement ces tendances pour s’assurer de pouvoir se réunir et échanger, et ce, peu importe l’évolution des règles sanitaires. »

« C’est un service clé en main que nous offrons à nos clients qui ne sont pas tous au même niveau en matière d’intégration de la technologie, souligne M. Mercure. Il faut les soutenir dans cette transition vers des événements hybrides. Même si, une fois qu’on aura trouvé un vaccin, on revient à de grands événements en personne, les organisations devront continuer à développer du contenu pour rayonner sur les réseaux sociaux. »

« Bien des gens ne voudront plus embarquer dans un avion seulement pour écouter des gens monologuer à l’autre bout du monde, affirme Robert Mercure. Les gens voudront se rassembler, échanger, faire du réseautage, apprendre des choses, découvrir de nouvelles cultures. Il faudra faire plus que présenter des conférences. Nous voulons être non seulement un centre de congrès, mais un centre de solutions pour aider nos clients à se réinventer. Nous voulons être une vitrine qui fera rayonner Montréal et le Québec. »
POUR EN SAVOIR PLUS
Sur l’événement MTL Reunion du 28 octobre :https://www.congresmtl.com/MTL-Reunion
Sur le service Palais Média Propulsion :
https://congresmtl.com/studio-palais-media-propulsion/
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