Se former pour (et dans) l’adversité

Comment gérer un employé qui travaille à distance ? Comment anime-t-on des réunions virtuelles ? Ce n’est là qu’un aperçu des compétences qui ont pris plus d’importance dans le contexte de la pandémie actuelle et deviendront bientôt des incontournables.
« Suivre une formation prend tout son sens dans un moment où il faut se réinventer », affirme Arnaud Granata, président d’Infopresse, une entreprise qui offre des programmes de formation en ligne personnalisés en leadership, gestion, marketing, communication, numérique et innovation.
Cette réinvention passe selon lui par l’acquisition de nouvelles compétences qui ont émergé de la crise de la COVID-19. Celle-ci a complètement chamboulé les modèles d’affaires des entreprises.
« On demande notamment aux gestionnaires d’être plus flexibles dans leur façon de diriger les équipes, mais il faut d’abord leur donner les outils pour y arriver », soutient-il.
Il donne en exemple le recrutement à distance : comment embaucher ou gérer un nouvel employé que l’on n’a jamais rencontré ? Comment l’intègre-t-on à l’équipe ? C’est sans compter toutes les compétences transversales à acquérir comme l’animation de réunions virtuelles ou d’ateliers de remue- méninges et de création en ligne.
« Les entreprises ont accéléré leur transformation dans les derniers mois, particulièrement en ce qui a trait au développement du commerce en ligne et à la gestion du télétravail, explique-t-il. Elles ont donc de nouveaux besoins. »
Outre les outils de gestion que les employés peuvent aller chercher en suivant une formation, d’autres types de mises à niveau sont nécessaires en communication et marketing.
« On ne peut plus communiquer de la même façon, autant à titre d’individu qu’à titre d’entreprise, et les outils en marketing ont évolué — sur les réseaux sociaux et dans les stratégies de commerce en ligne, de mise en marché et de promotion —, mentionne-t-il. Il en va de même pour l’innovation et la créativité: comment former des groupes de travail et implanter une culture d’innovation dans un monde où tout se fait à distance ? »
Non seulement les employeurs devraient inciter leurs employés à suivre des formations pour développer ces compétences, mais ils auraient tout avantage à établir des plans de formation pour y arriver dans les prochains mois, note-t-il.
Arnaud Granata, président d’Infopresse
Si ce programme est maintenant terminé, la subvention d’Emploi-Québec qui permet de rembourser 50 % des frais de formation est toujours offerte.
Même si le coût d’une formation peut décourager certains à se lancer, le retour sur investissement en vaut la peine.
Outre l’aide gouvernementale, les OSBL, les petites entreprises et les travailleurs autonomes peuvent aussi profiter de pourcentages de rabais à Infopresse, de même que de certaines réductions s’ils font partie d’une association professionnelle.
Infopresse a ainsi mis en place des mesures pour stimuler les interactions. D’abord, les groupes sont volontairement plus petits et comptent de 20 à 25 personnes maximum. « Lorsqu’un participant se connecte à la plateforme, un modérateur ou une modératrice l’invite à se présenter et les participants peuvent échanger entre eux tout au long de la journée », explique-t-il.
Ce rôle de modération aide aussi à faire participer les professionnels.
« Contrairement à une salle de classe où les gens lèvent la main pour avoir la parole, il est plus difficile de prendre les devants sur une plateforme en ligne, il est donc nécessaire d’adapter la pédagogie », ajoute-t-il.
Infopresse ponctue également les heures de formation par des exercices pratiques et de nombreuses pauses. Ses formations sont offertes en format court (3 heures) et long (7 heures). Elle propose aussi trois certifications qui s’échelonnent sur quatre jours.
« On a d’abord effectué des tests pour le format de 7 heures et on a décidé de conserver cette durée, souligne-t-il. On a constaté que lorsque les gens sont à la maison, ils ont le temps et l’espace mental pour se concentrer, mais qu’il suffit de varier la formation. »
La clientèle d’Infopresse a dépassé les frontières de Montréal, où elle était auparavant davantage concentrée. « Les gens ont réalisé qu’ils pouvaient suivre une formation à n’importe quel moment et de n’importe où, à la maison comme au chalet », affirme Arnaud Granata.
De plus, 80 à 90 % de ses clients ont mentionné dans un sondage mené en juin dernier qu’ils préféraient poursuivre des formations en ligne plutôt que de revenir en classe à l’automne.
« On dirait que, pour ceux qui hésitaient auparavant à suivre le cours en ligne parce qu’ils étaient moins à l’aise avec la technologie, le fait d’avoir été propulsés dans la formation en ligne malgré eux les a menés à s’y adapter et à en voir tous les avantages », constate-t-il.
Ils trouvent maintenant agréable de ne plus avoir à se déplacer, avec tout ce que cela génère comme stress, notamment la perte de temps dans les transports et le trafic, de même que la gestion des parcomètres.
Stéphane Mailhiot, 18 septembre
« L’art du storytelling : narration, adhésion, conversion »
Yann Fortier, 24 septembre
« L’art de convaincre » Jacques Marsan, 6 octobre
« Concevoir une infolettre efficace » Lavinia Botez, 20 novembre
Michelle Laberge, 25 septembre, 3 novembre
« Implanter les bons outils de collaboration à distance »
Don Rosenthal, 18 septembre, 23 octobre
« Mobiliser ses équipes vers la réussite »
Anne Sérode, Rose-Marie Charest, 29-30 septembre
« Gérer efficacement le télétravail et ses employés à distance »
Mathilde Einhorn, 30 septembre
« LinkedIn : développer ses ventes B2B à l’heure de la distanciation physique » Renaud Margairaz, 23 septembre, 5 novembre
Chloé Gascon et Sandra Frechette, 22 septembre
« Positionner l’impact social au coeur de sa stratégie d’affaires »
Mickaël Carlier, Matthieu Salou, 10 septembre, 5 novembre
François Cantin, 22 septembre, 7 octobre, 18 novembre
« Envisager la conception de bureaux post-pandémie : techniques et outils» Mélanie Boivin, 16 septembre, 5 octobre, 17 novembre
« Suivre une formation prend tout son sens dans un moment où il faut se réinventer », affirme Arnaud Granata, président d’Infopresse, une entreprise qui offre des programmes de formation en ligne personnalisés en leadership, gestion, marketing, communication, numérique et innovation.
Cette réinvention passe selon lui par l’acquisition de nouvelles compétences qui ont émergé de la crise de la COVID-19. Celle-ci a complètement chamboulé les modèles d’affaires des entreprises.
« On demande notamment aux gestionnaires d’être plus flexibles dans leur façon de diriger les équipes, mais il faut d’abord leur donner les outils pour y arriver », soutient-il.
Il donne en exemple le recrutement à distance : comment embaucher ou gérer un nouvel employé que l’on n’a jamais rencontré ? Comment l’intègre-t-on à l’équipe ? C’est sans compter toutes les compétences transversales à acquérir comme l’animation de réunions virtuelles ou d’ateliers de remue- méninges et de création en ligne.
« Les entreprises ont accéléré leur transformation dans les derniers mois, particulièrement en ce qui a trait au développement du commerce en ligne et à la gestion du télétravail, explique-t-il. Elles ont donc de nouveaux besoins. »
Outre les outils de gestion que les employés peuvent aller chercher en suivant une formation, d’autres types de mises à niveau sont nécessaires en communication et marketing.
« On ne peut plus communiquer de la même façon, autant à titre d’individu qu’à titre d’entreprise, et les outils en marketing ont évolué — sur les réseaux sociaux et dans les stratégies de commerce en ligne, de mise en marché et de promotion —, mentionne-t-il. Il en va de même pour l’innovation et la créativité: comment former des groupes de travail et implanter une culture d’innovation dans un monde où tout se fait à distance ? »
Non seulement les employeurs devraient inciter leurs employés à suivre des formations pour développer ces compétences, mais ils auraient tout avantage à établir des plans de formation pour y arriver dans les prochains mois, note-t-il.

La formation, loin d’être un luxe
« À partir du moment où le gouvernement Legault a dit qu’il allait rembourser 100 % des formations au moyen du Programme actions concertées pour le maintien en emploi (PACME), il envoyait le signal clair que ce n’était pas un luxe de se former, mais une nécessité dans le contexte, affirme Arnaud Granata. C’est primordial non seulement pour le développement de la main-d’oeuvre, mais pour la relance économique. »Si ce programme est maintenant terminé, la subvention d’Emploi-Québec qui permet de rembourser 50 % des frais de formation est toujours offerte.
Même si le coût d’une formation peut décourager certains à se lancer, le retour sur investissement en vaut la peine.
Outre l’aide gouvernementale, les OSBL, les petites entreprises et les travailleurs autonomes peuvent aussi profiter de pourcentages de rabais à Infopresse, de même que de certaines réductions s’ils font partie d’une association professionnelle.
Tisser des liens autrement
Bon nombre de personnes qui s’inscrivent à des formations cherchent, outre les apprentissages, à réseauter. Or, les relations professionnelles peuvent sembler plus complexes à nouer derrière un écran.Infopresse a ainsi mis en place des mesures pour stimuler les interactions. D’abord, les groupes sont volontairement plus petits et comptent de 20 à 25 personnes maximum. « Lorsqu’un participant se connecte à la plateforme, un modérateur ou une modératrice l’invite à se présenter et les participants peuvent échanger entre eux tout au long de la journée », explique-t-il.
Ce rôle de modération aide aussi à faire participer les professionnels.
« Contrairement à une salle de classe où les gens lèvent la main pour avoir la parole, il est plus difficile de prendre les devants sur une plateforme en ligne, il est donc nécessaire d’adapter la pédagogie », ajoute-t-il.
Infopresse ponctue également les heures de formation par des exercices pratiques et de nombreuses pauses. Ses formations sont offertes en format court (3 heures) et long (7 heures). Elle propose aussi trois certifications qui s’échelonnent sur quatre jours.
« On a d’abord effectué des tests pour le format de 7 heures et on a décidé de conserver cette durée, souligne-t-il. On a constaté que lorsque les gens sont à la maison, ils ont le temps et l’espace mental pour se concentrer, mais qu’il suffit de varier la formation. »
Apprendre en ligne, un format durable
Au-delà de la crise ayant forcé des entreprises — comme Infopresse — qui offrent des formations à les migrer entièrement en ligne, la tendance de l’apprentissage en ligne n’est pas près de s’essouffler après la pandémie.La clientèle d’Infopresse a dépassé les frontières de Montréal, où elle était auparavant davantage concentrée. « Les gens ont réalisé qu’ils pouvaient suivre une formation à n’importe quel moment et de n’importe où, à la maison comme au chalet », affirme Arnaud Granata.
De plus, 80 à 90 % de ses clients ont mentionné dans un sondage mené en juin dernier qu’ils préféraient poursuivre des formations en ligne plutôt que de revenir en classe à l’automne.
« On dirait que, pour ceux qui hésitaient auparavant à suivre le cours en ligne parce qu’ils étaient moins à l’aise avec la technologie, le fait d’avoir été propulsés dans la formation en ligne malgré eux les a menés à s’y adapter et à en voir tous les avantages », constate-t-il.
Ils trouvent maintenant agréable de ne plus avoir à se déplacer, avec tout ce que cela génère comme stress, notamment la perte de temps dans les transports et le trafic, de même que la gestion des parcomètres.
Formations Infopresse
Voici un aperçu des formations d’Infopresse en ligne à venir pour développer vos compétences dans divers domaines clés :Communication et marketing
« Déceler les tendances marketing pour se relever de la crise »Stéphane Mailhiot, 18 septembre
« L’art du storytelling : narration, adhésion, conversion »
Yann Fortier, 24 septembre
« L’art de convaincre » Jacques Marsan, 6 octobre
« Concevoir une infolettre efficace » Lavinia Botez, 20 novembre
Gestion et ressources humaines
« S’exprimer en public avec impact »Michelle Laberge, 25 septembre, 3 novembre
« Implanter les bons outils de collaboration à distance »
Don Rosenthal, 18 septembre, 23 octobre
« Mobiliser ses équipes vers la réussite »
Anne Sérode, Rose-Marie Charest, 29-30 septembre
« Gérer efficacement le télétravail et ses employés à distance »
Mathilde Einhorn, 30 septembre
Numérique
« Google Analytics : interpréter ses données pour réorienter ses actions marketing face à la crise » Aurélie Bailliache, 17 septembre, 3 novembre« LinkedIn : développer ses ventes B2B à l’heure de la distanciation physique » Renaud Margairaz, 23 septembre, 5 novembre
Innovation
« Marketing agile : savoir s’adapter pour gagner en efficacité »Chloé Gascon et Sandra Frechette, 22 septembre
« Positionner l’impact social au coeur de sa stratégie d’affaires »
Mickaël Carlier, Matthieu Salou, 10 septembre, 5 novembre
Architecture et design
« Profiter de la période actuelle pour (ré)aménager des environnements de travail axés sur les activités grâce à la conception intégrée »François Cantin, 22 septembre, 7 octobre, 18 novembre
« Envisager la conception de bureaux post-pandémie : techniques et outils» Mélanie Boivin, 16 septembre, 5 octobre, 17 novembre
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