
Des étudiants indiens en colère contre Ottawa
Désespérés d’attendre leur visa d’étude, des milliers d’étudiants souhaitant venir au Québec manifesteront lundi.
Marco Fortier est journaliste au Devoir depuis 2013. Il a couvert l’actualité politique au cours des 20 dernières années, notamment au Journal de Montréal et à Ruefrontenac.com, mais il est un touche-à-tout dans l’âme: il a suivi une expédition canadienne au mont Everest (dont il a tiré le livre Sur le toit du monde en 2000), couvert le référendum de 2014 sur l’indépendance de l’Écosse et la campagne présidentielle de 2016 aux États-Unis. Son reportage Voyage au bout de la vie lui a valu le prix Judith-Jasmin (Entrevue ou portrait) en 2016. Il se déplace à vélo été comme hiver et s’intéresse aux questions d’aménagement urbain.
Désespérés d’attendre leur visa d’étude, des milliers d’étudiants souhaitant venir au Québec manifesteront lundi.
La fermeture de ce programme à succès de l’établissement ontarien a suscité la consternation au pays.
La crise de gouvernance prend de l’ampleur au sein du plus grand centre de services scolaire du Québec.
La crise a éclaté dès la première séance du conseil, déplorent les membres démissionnaires.
L’Université Laurentienne de Sudbury abolit 69 programmes, dont 28 en français.
La pandémie aggrave la pénurie d’enseignants, au point où des écoles doivent fermer leurs portes.
Les Franco-Ontariens se mobilisent, fouettés par la crise financière d’une université bilingue à Sudbury.
La crédibilité du ministre de l’Éducation est une fois de plus mise à l’épreuve par les tests de CO2 en classe.
La logistique entourant les cas de variants de la COVID-19 aggrave la pénurie de personnel.
Un rapport d’étudiants aux cycles supérieurs de l’Université Laval sonne l’alarme au sujet de la fragilité du français.