
Arrestation musclée à Québec: le Dagobert contredit le chef de police
La police n’a pas été appelée à intervenir avant l’arrestation, soutient le propriétaire de la boîte de nuit.
Isabelle Porter est journaliste au Devoir depuis 2004 et correspondante à Québec depuis 2011. Basée au bureau du parlement, elle y suit les politiques qui touchent les villes, la santé, les régions et les affaires sociales. Elle garde aussi un œil attentif sur l’hôtel de ville de Québec et tout ce qui grouille dans la région. Elle est détentrice d’une maîtrise en science politique et d’un diplôme d’études supérieures en journalisme international.
La police n’a pas été appelée à intervenir avant l’arrestation, soutient le propriétaire de la boîte de nuit.
À Montréal, à Québec et encore plus à Gaspé, des clients se heurtent à des délais indus, voire à l’absence de service.
Des voix s’élèvent afin de corriger la loi qui permet aux Autochtones de voter dans des villes où ils ne résident pas.
« Ce sera l’occasion de débats sains », a lancé le nouveau maire, Bruno Marchand, dans son premier point de presse.
La CSN et la CSQ envisagent une grève illimitée.
Au-delà des vives réactions, la transition laisse aussi présager d’heureux rapprochements.
Le nouveau maire de Québec a choisi l’homme d’affaires et militant péquiste comme chef de cabinet.
Avec une telle mesure pour son agresseur, «son décès aurait probablement pu être évité».
L’ancien chroniqueur a indiqué que l’Équipe Marie-Josée Savard va changer de nom.
Dans une capitale où les clivages politiques ont la vie dure, le succès de l’approche rassembleuse n’est pas anodin.