
Une conspirationniste ennemie dans les rangs du pouvoir législatif américain
Les débuts de Marjorie Taylor Greene préoccupent les défenseurs de la démocratie.
Fabien Deglise est journaliste depuis plus de 20 ans au Devoir, où il a été affecté à la couverture politique, sociale et culturelle. Il a réalisé de grands reportages à l’étranger, tenu des chroniques sur le monde de la consommation puis sur les mutations sociales, en plus d’avoir été responsable de plusieurs projets spéciaux. Il est depuis 2016 critique littéraire. En 2014, le Conseil supérieur de la langue française l’a honoré pour la qualité et la richesse de son écriture. Il a également reçu le prix Judith-Jasmin (Opinion) en 2015.
Les débuts de Marjorie Taylor Greene préoccupent les défenseurs de la démocratie.
Le gouverneur Gavin Newsom cède aux vives critiques anti-confinement malgré l’avis contraire des experts.
La procédure va diviser le pays pour les uns, mais favoriser la culture de l’unité pour les autres.
La contamination explose dans cet État qui ne compte désormais que sur la vaccination pour s’en sortir.
Pour plusieurs, l’intronisation de Joe Biden vient mettre fin au cauchemar.
Le démocrate amorce sa présidence dans un pays divisé, «covidé» et traversé par des crises profondes.
Il risque de passer à l’Histoire pour avoir tragiquement manqué son départ de la Maison-Blanche.
La procédure en cours pourrait déchirer encore plus les États-Unis.
Les grands contributeurs suspendent aussi le financement de politiciens qui ont soutenu l’insurrection du Capitole.
Vus de l’étranger, le pays fait désormais partie du problème démocratique plutôt que de la solution.