
Les femmes inuites sont surreprésentées dans les cas de violence conjugale
Trois des dix dernières victimes de meurtre conjugal au Québec résidaient au Nunavik.
Améli Pineda est journaliste généraliste, avec un penchant pour la politique municipale et les affaires judiciaires. Arrivée au Devoir au début de 2017 en tant que surnuméraire après avoir été journaliste pour Le Journal de Montréal et 24 heures, elle a entre autres couvert les inondations du printemps qui ont frappé plusieurs municipalités du Québec. Elle privilégie le travail de terrain, qui permet de mettre un visage sur les enjeux d’actualité. Sa principale motivation se fonde sur le mantra d’Henri Bourassa, fondateur du Devoir, d’«appuyer les honnêtes gens et dénoncer les coquins».
Trois des dix dernières victimes de meurtre conjugal au Québec résidaient au Nunavik.
L’ex-conjoint de la femme de 44 ans a été accusé de meurtre non prémédité.
Le Devoir a replongé au coeur de cette soirée en passant au peigne fin les communications officielles du SPVM.
Des éléments de preuve décisifs ont été négligés dès le départ de l’enquête qui a mené à l’arrestation de Camara.
Le Devoir poursuit sa vigie.
L’homme veut régulariser son statut et demande une intervention du ministre fédéral de l’Immigration.
Le juge Louis Dionne aura le mandat de se pencher sur le sort réservé que lui a réservé le SPVM.
Le dirigeant du corps policier lui a offert ses excuses en personne.
Les résultats des tests d'ADN permettent de le disculper «de manière objective».
L’homme qui a été accusé à tort de tentative de meurtre d’un policier espère obtenir réparation.