
La course contre la montre pour récolter le bois brûlé des feux de forêt
Vidéo Sur le terrain, «Le Devoir» a rencontré les équipes chargées de récolter le bois avant qu’il ne soit trop tard.
Alexis Riopel est journaliste au Devoir depuis 2018. Après un baccalauréat en physique (Université de Montréal) et une maîtrise en sciences atmosphériques et océaniques (Université McGill), il est lauréat de la bourse Fernand-Seguin en journalisme scientifique en 2017. Il couvre surtout l'environnement et les sciences.
Vidéo Sur le terrain, «Le Devoir» a rencontré les équipes chargées de récolter le bois avant qu’il ne soit trop tard.
Le Devoir a visité une forêt de Mauricie trois mois après son incendie.
De grands inventaires naturels ont été réalisés cet été dans la nouvelle réserve de biodiversité.
Une récente étude d’Ouranos s’est penchée sur ce casse-tête scientifique.
L’entreprise montréalaise aura besoin d’énormément d’énergie pour capter du carbone dans l’air.
Si les incendies deviennent trop fréquents, les lacs auront du mal à retrouver leur équilibre.
Le deuxième élément du tableau périodique disparaît peu à peu de notre planète.
Les feux de cet été ont affecté nombre de jeunes forêts où les cocottes n’étaient pas encore matures.
De graves problèmes touchent la principale norme de certification dans le monde, avertissent les auteurs.
Des dizaines de tonnes de roche broyée seront déversées dans le port dans le but de retirer du CO2 de l’atmosphère.