
Il serait «peu probable» que GNL Québec se réalise
Les opposants québécois auront raison du projet, selon l’Union internationale du gaz.
Alexandre Shields est titulaire d’un baccalauréat en communication de l’UQAM. Journaliste au Devoir depuis 2005, il a travaillé en journalisme économique pendant quatre ans avant d’être affecté aux dossiers environnementaux. Finaliste à trois reprises aux prix Judith-Jasmin, il a remporté en 2016 le prix dans la catégorie «Journalisme spécialisé» pour son travail sur l’environnement. Il est aussi chroniqueur en actualités environnementales à la radio de Radio-Canada.
Les opposants québécois auront raison du projet, selon l’Union internationale du gaz.
Les permis d’exploration permettront de forer dans la plus importante aire protégée des États-Unis.
Les engagements de pays en faveur de la «carboneutralité» pourraient nous rapprocher du respect de l’Accord de Paris.
Le remplacement du pipeline «Ligne 3» d’Enbridge permettra d’exporter 277 millions de barils par année.
Des chiens entraînés pourraient être en mesure de détecter si une personne est infectée par le nouveau coronavirus.
GNL promet de présenter un plan pour compenser la totalité des émissions de gaz à effet de serre de son usine.
La Ville n’a pas pris de décision sur ce qui doit être fait pour protéger les écosystèmes menacés par les cervidés.
La Régie de l’énergie du Canada conclut que le projet de 12 milliards financé par Ottawa pourrait être inutile.
En 2019, plus de 47 600 cerfs de Virginie ont été abattus légalement par des chasseurs au Québec.
La quantité de CO2 accumulée dans l’atmosphère nous conduit sur une trajectoire climatique catastrophique.